ORIGINE Japon | ![]() |
ANNEE 1976 | |
REALISATION
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INTERPRETES
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Critique Journal Erotique D'Une Infirmière | |||||||
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![]() Cette i ![]() JOURNAL EROTIQUE D'UNE INFIRMIERE est un film singulier dans l'histoire du genre car il brise de nombreux tabous, plus particulièrement ceux de l'inceste et de l'homosexualité masculine (la scène qui met en scène les deux amants va jusqu'à l'urologie, c'est dire si le spectacle est permissif). Le tout est troussé de manièr ![]() Ainsi Chûsei Sone signe une petite perle esthétique, à l'image du générique qui juxtapose une série de photos de type Marongiu montrant Akémi se laisser toucher avec plaisir par des inconnus dans le métro qui la mène à son travail. D'ailleurs, les lieux communs liés à la profession d'infirmière semblent peu intéresser le metteur en scène si ce n'est lor ![]() Autre particularité du réalisateur : il tente, par tous les moyens les plus astucieux, de contourner la censure (d'où de nombreux plans savoureux) obligeant Dame Anastasie à disposer quelques caches disgracieux. La bande originale bien funky contribue également à dynamiser cette œuvre. C'est le groupe Cosmo Factory (hommage appuyé au Creedance Clearwater Revival et son album culte) qui la compose, on peut les apercevoir en live lors d'une scène. Au final, JOURNAL EROTIQUE D'UNE INFIRMIERE est une bonne pioche dans le catalogue affriolant de la Nikkatsu, il fait partie des meilleurs films du genre. Loin de la richesse thématique d'un Noboru Tanaka, cette polissonnerie s'impose par son traitement réussi d'un sujet casse-gueule ainsi que sa beauté picturale.
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Journal Erotique D'une Infirmière Epuise/out Of Print | DVD Zone 2 | NC € |