ORIGINE Italie | ![]() |
ANNEE 1975 | |
REALISATION
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INTERPRETES
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Critique La flic chez les poulets | |||||||
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![]() La jeune Gianna, fille d'un concierge et fan de romans policiers, rêve de porter l'uniforme. Malheureusement pour elle, elle n'est ni cultivée, ni très intelligente. Mais grâce à l'intervention d'un voisin, Gianna est acceptée et, malgré ses bourdes récurrentes à l'école de Police, parvient finalement à intégrer l'institution. Pour sa première affaire, elle va devoir retrouver une jeune mère ![]() Disons-le tout net : le principal intérêt de ce film réside dans le charme de son interprète principale. Consciente de son sex-appeal, Edwige Fenech compose un personnage drôle, touchant et surtout incroyablement sexy. Jouant de son regard et de ses interminables jambes, elle impose d'emblée sa frêle silhouette dans cet univers masculin et machiste. Assumant le fétichisme du réalisateur pour les uniformes, Edwige Fenech transcende sa fonction de mannequin pour ne faire plus qu'un avec sa tenue. En se dénudant à intervalles réguliers, elle apporte ce supplément visuel qui fait les succès d ![]() Certes, un effort a été fait dans l'écriture de l'intrigue et celle-ci se tient plus ou moins bien jusqu'au bout. A-t-on pour autant envie de la suivre ? Pas vraiment. Son intérêt est très vite émoussé car elle louche ni plus ni moins vers un bon vieil épisode de DERRICK. Heureusement, un certain soin est apporté dans la réalisation et la direction des comédiens qui, pour une fois, ne surjouent pas en totale roue libre. Comme dans toute bonne comédie sexy italienne, les gags se succèdent sur un tempo altier mais demeurent touts plus navrant les uns que les autres, seuls les dialogues frôlant le non-sens britannique par ![]() Au final et avec le recul, cette comédie sexy est à prendre avec des pincettes et n'est surtout à réserver qu'aux fans purs et durs du genre (qui s'amuseront à retrouver l'inénarrable et clownesque Alvaro Vitali, mais aussi Mario Carotenuto et qui reconnaîtront éventuellement la fameuse chambre de L'INFIRMIERE DE NUIT ici transformée en bureau) ou ceux, peut-être plus nombreux, de la divine Edwige.
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