ORIGINE Grande Bretagne | ![]() |
ANNEE 1963 | |
REALISATION
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INTERPRETES
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Critique Le Baiser du Vampire | |||||||
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![]() Ici, Don Sharp, acoquiné du scénariste attitré de la Hammer, John Elder, nous présente une histoire ![]() ![]() On trouve quelques éléments nouveaux dans le film de Don Sharp, comme par exemple le fait que le vampire ne craint pas la lumière, seulement le soleil. Ravna est à la tête d'une secte de vampires qui porte des suaires blancs Cette couleur étant l'apanage de la pureté, elle est ici synonyme de blasphème. Ravna, magistralement interprété par Noel Willman (le Docteur Frank ![]() Face à lui il y le Bien, ici le Professeur Zimmer (Clifford Evans vu dans LA NUIT DU LOUP-GAROU) dont le personnage reflète tout à fait celui du Professeur Van Helsing. Miné par la perte de sa fille (devenue vampire sous la coupe de Ravna), il noie son chagrin dans l'alcool. Il mettra néanmoins un terme aux agissements de Ravna et de sa secte au cours d'une étonnante séquence où il invoque les forces maléfiques pour que le Mal soit combattu par le Mal. Des chauve-souris détruiront alors les vampires. Notez que cette séquence devait être à l'origine le final des MAITRESSES DE DRACULA de Terence Fisher. Une fois de plus James Bernard compose une mélodie au piano qui déploie un véritable charme maléfique lors de la scène où Karl la joue pour Marianne. LE BAISER DU VAMPIRE n'a pas pris une ride. Il reste un éternel classique que l'on peut élever à la hauteur du CAUCHEMAR DE DRACULA de Terence Fisher.
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