ORIGINE USA | ![]() |
ANNEE 2006 | |
REALISATION
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Critique Masters of Horror Saison 2: Valerie on t | |||||||
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![]() Les adeptes de l'écrivain ne seront d'ailleurs certainement pas surpris. Le personnage principal, Rob Harrisey, est un auteur raté qui ne sait pas trop quoi faire de sa vie. Il décide finalement de s'installer quelques temps dans une sorte de pension pour « écrivains non publiés » afin de coucher sur papier sa future œuvre. Nourri et l ![]() Autant le dire tout de suite, l'histoire ne va pas chercher bien loin. Le jeu d'acteur reste dans l'ensemble très médiocre. Le seul à paraître véritablement crédible est peut-être le bo ![]() Si le ton de VALERIE ON THE STAIRS est plus sombre que celui adopté pour CHOCOLATE, les deux affichent néanmoins certains points communs. Dans l'un comme dans l'autre, nous suivons les mésaventures d'hommes faisant une fixation sur un être a priori intouchable, une femme en l'occurrence. Ils se sentent attirés vers cette dernière, et ce, pas seulement physiquement (Valérie se baladant touj ![]() La bestiole en revanche, censée avoir un appétit sexuel très prononcé envers Valérie, peine à convaincre son monde. Au final, un opus comme RIGHT TO DIE (le 9è épisode de cette 2è saison) s'avère plus érotique que VALERIE ON THE STAIRS ; Julia Anderson, l'héroïne de RIGHT TO DIE, étant filmée de façon plus sensuelle que Clare « je cours à poil dans les escaliers » Grant... Les effets spéciaux sont, pour leur part, corrects. L'entité diabolique prête à sourire, mais c'est un peu le cas de tous les monstres de la série (la bête mal faite de THE DAMNED THING en tête, sans oublier le diable kitsch de l'épisode de Carpenter : PRO-LIFE). Nous n'épiloguerons guère plus longtemps sur ce Masters of Horror qui demeure trop conforme au moule de la série pour véritablement accrocher le spectateur. Une pointe d'originalité à la fois dans le scénario et la mise en scène aurait été la bienvenue, comme on a pu le voir avec les épisodes SOUNDS LIKE ou FAMILY par exemple. Retrouvez notre interview de Mick Garris.
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