ORIGINE Taïwan, Hong Kong | ![]() |
ANNEE 2014 | |
REALISATION
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INTERPRETES
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Critique Zombie Fight club | |||||||
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![]() Bon, on ne va pas s'embêter longtemps à résumer plus avant le nouveau Joe Chien : en gros, c'est des zombies q ![]() Gros Z qui tâche, ZOMBIE FIGHT CLUB a bien retenu la leçon de Sushi Typhoon : plus c'est con, plus c'est bon. En mise en scène, c'est heureusement nettement mieux réalisé. Par contre, au niveau du scénario, c'est sans conteste le nawak d'or 2015. Les incohérences pullulent comme pustule sur zombies, avec des personnage soudainement affublés de tronçonneuses miraculeusement sortie de nulle part, ou des zombies apparaissant là où ils ne devraient pas se trouver. Après une heure assez poilante survient une gros ![]() Joe Chien a bien compris qu'il n'est pas besoin de livrer un produit bien lissé, calibré et étudié dans les détails. Au contraire, il choisit l'option de faire n'importe quoi et de le revendiquer haut et fort. Les défauts sont ses qualités. Cette posture peut fonctionner. Elle triomphe d'ailleurs au 33e Brussel International film festival (BIFFF) où, présenté à la séance de minuit, le film a été accueilli avec ferveur par un public toujours prêt à réagir bruyamment et festivement aux incohérences les plus éhontées. Cependant, on ne se départit pas de l'idée que ZOMBIE FIGHT CLUB aurait gagné à élaguer un peu et à travailler légèrement plus son scénario. Le film regorge de bastons et se montre très généreux sur les jolies filles court vêtues. Joe Chien connait bien son public et travaille dès lors son fan service. On a même droit au passage obligé des WIP de la grande époque : la scène de douche des esclaves ... hélas un peu frileusement cadrée, allez Joe, t'as filmé les gorges arrachées, donnes nous plus de seins et de fesses maintenant ! Si vous aimez le cinéma-n'importe-quoi, les jolies filles et le démasticage de zombies, foncez. Si vous avez quelques exigences scénaristiques, Joe Chien ne sera par contre certainement pas votre maitre achat. It's your call. Retrouvez nos chroniques du BIFFF 2015
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